Top 14 - Pas d'arbitrage vidéo pendant le premier quart d'heure des rencontres de ce samedi

Par Rugbyrama
  • Les arbitres ne pourront pas avoir recours à l'arbitrage vidéo durant le premier quart d'heure des matchs de Top 14.
    Les arbitres ne pourront pas avoir recours à l'arbitrage vidéo durant le premier quart d'heure des matchs de Top 14. Icon Sport
Publié le Mis à jour
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Les passionnés de ballon ovale risquent d'avoir de mauvaises surprises au moment de regarder le début des rencontres de Top 14 ce samedi. En effet, en raison d'une grève des techniciens de Canal +, le premier quart d'heure de tous les matchs sera diffusé en plan large et sans son. De ce fait, en raison d'un manque d'images, il n'y aura pas d'arbitrage vidéo. 

Les techniciens de Canal + vont frapper fort lors de la 22ème journée de Top 14. 

Ne soyez pas surpris quand vous allez allumer votre télévision, le premier quart d'heure de tous les matchs ne sera pas diffusé de manière habituelle. Une diffusion en plan large et sans son, qui pourrait avoir de grosses conséquences. Explications.

15 minutes sans arbitrage vidéo

Durant les quinze premières minutes, le corps arbitral ne pourra pas revoir toutes les images qu'il souhaite. De ce fait, il sera impossible d'avoir recours à l'arbitrage vidéo en cas d'occasion d'essai ou de mauvais geste. Un "retour à l'ancienne" en quelque sorte.

En premier lieu, c'est la rencontre entre le Racing 92 et l'Union Bordeaux-Bègles qui en fera les frais dès 15 heures ce samedi. Par la suite, c'est le multiplex de 17 heures qui sera logé à la même enseigne. 

Franck Maciello, le directeur des arbitres français explique la situation : "J'ai été prévenu une demi heure avant le début du premier match entre le Racing et l'UBB. On aura un retour des arbitres d'en-but durant les 15 premières minutes. Ensuite, ce sera un retour à la normale. C'est tout simplement impossible de faire de l'arbitrage vidéo en plan large, donc cela nous a même pas traversé l'esprit."

L'ancien arbitre international a déjà connu cette situation : "Cela m'est arrivé il y a quelques années, mais j'étais habitué à exercer sans vidéo. On verra si les arbitres d'aujourd'hui sont capables de survivre sans toutes les caméras (rires)"

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