Atonio : "Le club a su garder la tête sur les épaules"

Par Rugbyrama
  • Champions Cup - Uini Atonio (La Rochelle)
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TOP 14 - Le pilier du Stade rochelais et du XV de France s'est confié pour Midi Olympique. Il est notamment revenu sur les progrès des Bleus et les raisons du succès de son club.

Champion d'Europe avec les Maritimes, vainqueur du Grand Chelem à l'issue du Tournoi des 6 Nations avec les Bleus. A 32 ans, Uini Atonio sort peut-être de la saison la plus aboutie de sa carrière. A un an de la Coupe du monde en France, le pilier droit international (44 sélections) a même changé de statut chez le XV de France avec lequel il s'affirme désormais comme titulaire. Pour Midi Olympique, le Rochelais s'est confié sur son évolution à son poste dans la hiérarchie nationale : "Il y a une telle concurrence en équipe de France, que personne n’est installé. L’état d’esprit des jeunes qui poussent ne te permet pas de te reposer sur tes lauriers. Ils veulent tout jouer, tout gagner. Aujourd’hui, je me compte dedans, mais je sais que je peux "dégager" rapidement."

Il commenté également le changement d'état d'esprit depuis le début du mandat de Fabien Galthié : "Quand nous préparons un match, nous le faisons pour gagner. C’est ça qui est bien. Le discours a changé. Auparavant, avant l’avènement de Fabien Galthié et l’arrivée de ces jeunes, j’avais l’impression que le message était, notamment contre les grosses nations, "faites de votre mieux". Des fois, ça passait, mais la plupart du temps, non."

Par ailleurs, quelques mois après la couronne européenne obtenue avec le Stade rochelais, celui qui est arrivé en 2011 chez les Jaune et Noir a commenté les progrès accomplis : "Je crois que le club a su garder la tête sur les épaules. Le club cherche à progresser pas à pas. Ici, le président Vincent Merling et son équipe font les choses en prenant le temps. Ce n’est jamais une progression fulgurante, mais linéaire. Après si le club en est là aujourd’hui, c’est aussi grâce aux gens et aux entraîneurs du passé : Collazo, Garbajosa, Patat. Chacun a eu un impact. L’évolution, je la vois, on monte chaque année le curseur un peu plus haut."

Retrouvez l'intégralité de l'entretien sur midi-olympique.fr

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