Ntamack : "Être ouvreur, c'est beaucoup de pression. Si on y joue, c'est qu'on aime ça"

  • XV de France - Le demi d'ouverture Romain Ntamack (France)
    XV de France - Le demi d'ouverture Romain Ntamack (France)
Publié le Mis à jour
Partager :

TOURNOI DES 6 NATIONS 2022 - Romain Ntamack s’est posé durant une demi-heure pour évoquer ce numéro 10 qui lui colle à la peau : de ses souvenirs d’enfance quand il idolâtrait. Dan Carter à ses échanges particuliers avec Owen Farrell ou Dan Biggar, en passant par ses matchs références et même une anecdote sur Leo Messi.

Retrouvez l'intégralité de l'entretien avec Romain Ntamack sur Midi-Olympique.fr

Enfant, que représentait le poste d’ouvreur à vos yeux ?

C’est celui qui m’a fait rêver tout petit. Moi, je regardais le rugby parce que je voulais voir jouer le demi d’ouverture, à chaque fois. J’étais fasciné par ce poste. J’aimais bien regarder l’arrière aussi. Mais le numéro qui m’attirait, c’était le 10.

Pourquoi ?

Parce que c’étaient souvent des mecs de grande classe, très talentueux. Occuper ce poste, c’est ce qui m’a donné envie de jouer au rugby. La plupart de mes idoles portaient le 10.

Si vous ne deviez en citer qu’une ?

Dan Carter, sans hésitation. Je l’ai toujours admiré. C’est en partie grâce à lui que j’ai voulu occuper ce poste. Il m’a tellement inspiré. Je voulais toujours le copier, faire comme lui. Tout ce qu’il parvenait à réaliser avec les All Blacks, c’était incroyable… Je regardais aussi tous ses matchs avec les Crusaders en Super Rugby.

Qu’est-ce qui vous a le plus marqué chez lui ?

Tout. Je dirais la facilité qu’il avait à tout faire avec précision. On avait l’impression qu’il jouait avec une telle aisance, presque en marchant. Mais il arrivait toujours à traverser le terrain ou à déposer le ballon où il le voulait avec son jeu au pied. Face aux poteaux, ça rentrait à chaque fois. C’était aussi un gros défenseur. C’est le joueur le plus complet que j’ai eu la chance de voir. Et puis, j’y reviens, il était tellement facile…

Gamin, étiez-vous déjà dans l’analyse de ses matchs ?

Peut-être pas au début mais, au fur et à mesure, je me suis mis à le faire. Il jouait parfois le matin à 8 heures et je mettais mon réveil pour le regarder jouer avec mon père [...]

Retrouvez l'intégralité de l'entretien avec Romain Ntamack sur Midi-Olympique.fr

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?